Une fois encore, c'est la brume qui nous attend pour cette nouvelle matinée indienne.
Nous quittons Jaisalmer et prenons la route vers Jodhpur que nous devrions atteindre dans un peu plus de quatre heures. Heureusement en dix jours, nous nous sommes maintenant habitués à la conduite typiquement indienne sur ces routes encombrées. Être toujours prêt à dépasser, ne jamais freiner ou alors quand il n'y a aucune autre solution, ne jamais s'arrêter même pour laisser la priorité, et se rabattre au dernier moment lors des dépassements. Autrement dit, pas mal de frayeur et de crainte, mais au bout du compte, aucun problème.
Comme prévu, nous entrons dans Jodhpur après quatre heures de route, et retrouvons les embouteillages et les concerts de klaxons.
Bien à l'abri, à l'angle d'une petite rue animée, nous trouvons notre hôtel : le Ratan Vilas. Dès nos premiers pas dans le petit jardin pelousé et fleuri, nous avons l'impression de revenir un siècle en arrière. Il ne serait pas étonnant de voir surgir de vénérables dames anglaises, toutes en retenue, portant chapeau et tenant leur cup of tea, le petit doigt levé. Les couloirs de cet hôtel sont imprégnés d'un charme désué, agrémenté par une séries de portraits d'époque. Sur les pelouses, où autrefois, ces dames et messieurs tout de blanc vêtus, devaient jouer au crocket, de petits salons de jardin sont parsemé çà et là. L'ensemble de la construction respire une ambiance so-british qui encourage au partage d'un petit gâteau, tout en consultant le dernier numéro du «Times». C'est un lieu fort agréable qui va nous permettre de nous remettre au mieux de notre longue route. Nous prenons le repas du soir dans un grand patio éclairé et chauffé par deux grands braséros dont les longues flammes s'étirent vers les étoiles d'une nouvelle nuit indienne.
Demain, nos pas nous porteront au cœur de la ville, pour en découvrir les couleurs qui en font sa renommée.
Texte Henry Lavesque - Photos Fabienne Lavesque
Nous quittons Jaisalmer et prenons la route vers Jodhpur que nous devrions atteindre dans un peu plus de quatre heures. Heureusement en dix jours, nous nous sommes maintenant habitués à la conduite typiquement indienne sur ces routes encombrées. Être toujours prêt à dépasser, ne jamais freiner ou alors quand il n'y a aucune autre solution, ne jamais s'arrêter même pour laisser la priorité, et se rabattre au dernier moment lors des dépassements. Autrement dit, pas mal de frayeur et de crainte, mais au bout du compte, aucun problème.
Comme prévu, nous entrons dans Jodhpur après quatre heures de route, et retrouvons les embouteillages et les concerts de klaxons.
Bien à l'abri, à l'angle d'une petite rue animée, nous trouvons notre hôtel : le Ratan Vilas. Dès nos premiers pas dans le petit jardin pelousé et fleuri, nous avons l'impression de revenir un siècle en arrière. Il ne serait pas étonnant de voir surgir de vénérables dames anglaises, toutes en retenue, portant chapeau et tenant leur cup of tea, le petit doigt levé. Les couloirs de cet hôtel sont imprégnés d'un charme désué, agrémenté par une séries de portraits d'époque. Sur les pelouses, où autrefois, ces dames et messieurs tout de blanc vêtus, devaient jouer au crocket, de petits salons de jardin sont parsemé çà et là. L'ensemble de la construction respire une ambiance so-british qui encourage au partage d'un petit gâteau, tout en consultant le dernier numéro du «Times». C'est un lieu fort agréable qui va nous permettre de nous remettre au mieux de notre longue route. Nous prenons le repas du soir dans un grand patio éclairé et chauffé par deux grands braséros dont les longues flammes s'étirent vers les étoiles d'une nouvelle nuit indienne.
Demain, nos pas nous porteront au cœur de la ville, pour en découvrir les couleurs qui en font sa renommée.
Texte Henry Lavesque - Photos Fabienne Lavesque
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire