Nous voici à la moitié du voyage, le temps donc de faire un premier bilan.
Côté santé, et surtout compte tenu des hauteurs que nous avons côtoyé, on peut dire que cela s'est passé sans trop de dégâts. Quelques coups de fatigue, essoufflements à l'effort, équilibres instables, saignement de nez, mal de tête, coup de soleil : les symptômes normaux d'un passage à de si hautes altitudes, au plus haut 4.900 mètres. Nos guides nous ont promis une acclimatation au bout de deux ou trois jours, ce qui est le cas.
Coté météorologie, nous aurons tout eu. Une chaleur intense et brûlante dans le désert d'Atacama à Nasca, le froid humide dans la vallée du Colca, des pluies diluviennes et même la neige dans la région de Puno, et un orage de grêle sur Cusco. Ici, c'est l'été, saison des pluies. Nous avons eu une énorme chance, car le soleil a toujours été avec nous lors de nos pérégrinations en extérieur, cédant la place à la pluie dès que nous étions à l'abri, dans nos hôtels.
Côté rencontres et moments insolites, nous avons été gâtés. Pêle-mêle : Nous avons serré la main à un candidat aux prochaines élections présidentielles,
été pris dans une manifestation des jeunesses socialistes,
navigué sur les eaux du lac Titicaca, survolé, dans une petit avion, les lignes de Nasca, foulé la terre seiche et brûlante du désert d'Atacama,
franchi à pleine vitesse les dunes de sable de Paracas, déguster le «ceviche de poisson» et les "anticuccho" (brochettes de cœur de bœuf), passé un col à 4.900 mètres d'altitude, aperçu les vigognes et goûté la viande d'alpaga,
suivi le cortège de la fête de «la virgen de la candelaria», disputé un match de football à 3.800 mètres d'altitude,
bu le maté de coca et de mounia, revêtu les tenues traditionnelles de l'île d'Amantani, plongé dans les eaux froides du Pacifique...
Le programme est encore long, et nous devrions faire de nouvelles rencontres au cours de la deuxième partie du voyage, avec la découverte du pays Incas.
Côté santé, et surtout compte tenu des hauteurs que nous avons côtoyé, on peut dire que cela s'est passé sans trop de dégâts. Quelques coups de fatigue, essoufflements à l'effort, équilibres instables, saignement de nez, mal de tête, coup de soleil : les symptômes normaux d'un passage à de si hautes altitudes, au plus haut 4.900 mètres. Nos guides nous ont promis une acclimatation au bout de deux ou trois jours, ce qui est le cas.
Coté météorologie, nous aurons tout eu. Une chaleur intense et brûlante dans le désert d'Atacama à Nasca, le froid humide dans la vallée du Colca, des pluies diluviennes et même la neige dans la région de Puno, et un orage de grêle sur Cusco. Ici, c'est l'été, saison des pluies. Nous avons eu une énorme chance, car le soleil a toujours été avec nous lors de nos pérégrinations en extérieur, cédant la place à la pluie dès que nous étions à l'abri, dans nos hôtels.
Côté rencontres et moments insolites, nous avons été gâtés. Pêle-mêle : Nous avons serré la main à un candidat aux prochaines élections présidentielles,
Le programme est encore long, et nous devrions faire de nouvelles rencontres au cours de la deuxième partie du voyage, avec la découverte du pays Incas.
Merci Fabienne ..... je vous suis avec grand plaisir et de tout coeur ....bonne continuation pour la suite de votre magnifique periple !!!! Lau
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